L'HISTOIRE DU NEUROFEEDBACK
DEBUT DES ANNEES 60
Joe KAMIYA, fait les premières expériences qui vont montrer qu’une personne peut volontairement agir sur certains rythmes cérébraux .
DEBUT LES ANNEES 70
Barry Sterman de l'Université de Los Angeles, collabore avec la NASA et obtient ses premiers succès en Neurofeedback sur des crises d’épilepsie chez l’être humain. De nombreuses études scientifiques effectuées par différents centres de recherche ont depuis confirmé ses résultats.
DANS LES ANNEES 80
Eugène Peniston et Paul Kulkosky, chercheurs et psychologues, définissent un protocole de neurofeedback spécifique qu'ils appliquent à des vétérans du Vietnam pour traiter le syndrome de stress post-traumatique. Deux années plus tard ils utilisent ce protocole avec d'autres vétérans du Vietnam devenus alcooliques. Ces deux études seront un succès.
C'est durant cette même période que sont conçus les premiers équipements de neurofeedback informatisés.
2001
Une nouvelle technique exclusive appelée "Neurofeedback dynamique, NeurOptimal®" est crée par Valdeane Brown et Sue Brown, deux psychologues cliniciens américains de Zengar Institute. Basée sur un algorythme dynamique innovant, elle privilégie les capacités autorégulatrices du cerveau et permet un entraînement cérébral naturel, non invasif et sans effort.
2018
La 3e génération de Neurofeedback dynamique, NeurOptimal® est lancée en mode totalement automatisé.
Le choix s'est délibérément porté sur un protocole de régulation exclusivement dynamique et non interventionniste basé sur la variabilité des valeurs de l’activité cérébrale à chaque instant. Ce protocole ne cherche aucunement à imposer de norme de référence, ni à réguler l'activité cérébrale vers ces mesures normatives. Elle est pour cette raison une méthode parfaitement douce, non invasive et sans effet indésirable.
