Quand on est Praticienne d’une méthode comme celle ci, on reçoit souvent des témoignages de personnes qui ont ressenti un bien-être, immédiat ou différé. Chaque personne est heureuse de nous raconter le bien fait qu’il y a eu dans sa vie, et nous on sait, encore une foi, qu’en choisissant le Neurofeedback dynamique, NeurOptimal® on a fait un bon choix. Mais, ces bienfaits du quotidien je préfère les garder pour moi.
Je m’explique : la méthode NeurOptimal® est un entraînement cérébral qui permet d’obtenir une amélioration globale de nos capacités, chacun en fonction de ce que son cerveau estime être le mieux pour lui.
Sauf que lui, ce n’est pas vous !
Cela arrive souvent qu’on me dise “mais moi je n’ai que ce problème, je ne vois pas sur quoi ça pourrai travailler d’autre, vous avez des exemples sur ce problème?”
Notre réalité est bien différente, nous vivons dans une société où les problèmes qu’on pense être unique sont ceux que la société nous reflète, mais prend-on vraiment le temps de nous écouter nous-même ? Et, surtout, au-delà de ça, est-on obligé d’avoir un problème pour s’entraîner ? Quand on parle de prendre du temps pour soi,
on pense avant tout au repos, on pense aussi au sport et au régime, mais aujourd’hui c’est notre cerveau qui a besoin de nous !
Le système NeurOptimal® est un système d’aide au bien être, permettre à notre cerveau d’aller mieux, c’est lui rendre son droit légitime de nous aider. On sait que chaque réaction qu’on a de manière involontaire, est dû au fait que notre cerveau veut nous protéger de quelque chose. Depuis la plus tendre enfance on crée des automatismes qui s’encrent en nous, et puis un jour on découvre qu’on a une conscience active et on essaye de tout maîtriser, sans se rendre compte de l’épuisement que cela provoque. Notre système est là pour aider notre système de défense à reprendre sa place.
Alors, pourquoi ce choix de ne pas donner de témoignages ? Il est évident qu’en livrant tous les témoignages que j’ai, je pourrai, à priori, attirer plus de monde. Mais moi je n’aime pas provoquer des attentes. Je ne veux pas donner d’espoir. Je suis pragmatique.
Je ne veux pas être une donneuse d’espoir, je n’ai pas choisi comme métier « marchand de rêve », j’ai choisi « diffuseur de bien être ». Voilà pourquoi, j’ai décidé de ne plus donner d’espoir, mais du résultat. Chaque fois qu’on me demande des témoignages sur des points précis sur lesquels j’ai déjà vu du résultat, je réponds que chacun aura ses propres résultats. Bien sûr que c’est bien d’espérer, mais pourquoi se formater à quelque chose, et ne pas laisser à notre cerveau l’opportunité de regarder ce fameux miroir et de décider lui-même la manière dont il veut s’arranger, de la même manière que nous le faisons pour notre visage chaque matin.
J’aime comparer les entraînements à notre routine quotidienne. Chaque personne en se levant aura sa propre routine, nous ne passerons pas le même temps à nous laver le visage et à nous coiffer, à choisir nos habits ou à nous brosser les dents, et si un jour je vous garantit que vous mettrez précisément le même temps que votre voisin à vous préparer, et à vous doucher, vous trouverez ça impossible, alors pourquoi pensez-vous que votre cerveau mettra précisément le même temps que celui d’un inconnu pour surmonter la même chose ?
JA/SB